L’objectif « Zéro artificialisation nette », axe fort de la trajectoire climat, continue de susciter débats et négociations quant à sa mise en oeuvre.

 

Le changement de paradigme s’annonce difficile. Il faut modifier la manière d’appréhender le foncier, en ne le voyant plus seulement comme un simple support d’opérations mais comme un abri pour la biodiversité : la sobriété s'entend par le non-étalement mais aussi par la renaturation. Il faut aussi inventer des conditions juridiques et financières induisant les changements nécessaires et facilitant le passage à l’opérationnel. Comment les promoteurs, pour lesquels le foncier est un paramètre de base, s’organisent-ils dans ce contexte inédit ? Et en s’appuyant sur quelles pistes d’évolutions dans la manière de fabriquer les opérations ?

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Dossier complet à lire dans Traits Urbains n°136 - Juin / Juillet 2023